Selon une étude américaine, seule 10% des photographies sont prises avec des appareils photos, le reste majoritairement avec des smartphones et assimilés.
Ces images sont essentiellement vues sur des écrans de téléphones dont la brillance les rende plus flatteuse. FB, Instagram ou Twitter participent à cette valorisation virtuelle.
Mac impose à ses écrans une dalle extrêmement brillante et la quasi-totalité des autres marques propose des écrans brillants ou semi-brillants, rares sont les « mats ». Les photographes que nous sommes s’en accommodent sans autre interrogation.
En revanche, dès lors qu’il s’agit d’imprimer ses images, la perplexité de l’auteur fait face aux centaines possibilités d’impression au regard du choix des papiers. Et là le doute s’installe… !
Une photographie aurait-elle 2 vies ? L’une qui ne se pose aucune question tant qu’elle est virtuelle, l’autre qui n’oserait pas sortir de son disque dur faute de pouvoir choisir ses plus beaux atours